Massage
Quelques mots sur ma pratique…



La technique et l’esprit
« La santé est la meilleure des acquisitions ; le contentement, la meilleure des richesses ; la confiance, le meilleur des parents »
Dhammapada, chapitre XV
Je pratique un massage profond, puissant et structuré.
La détente ne se décrète pas : elle se conquiert. Là où les tensions sont anciennes et installées, le travail doit être exigeant, parfois inconfortable. C’est le prix à payer pour rétablir la circulation, la mobilité et faire reculer la douleur.
Une fois les tensions profondes dissipées, le toucher s’allège. Le travail devient plus fin, plus précis, et vise l’équilibre global du corps.
Chaque geste est exécuté avec concentration et présence. Les protocoles structurent le travail ; le corps en détermine l’application.
Parce que chaque personne et chaque situation sont uniques, chaque massage l’est aussi.


Déroulement de la séance
Les protocoles sont décrits sur la page « Tarifs ».
Ce qui suit concerne le cadre général et la logique du travail.
La séance débute sans rituel imposé. Quelques indications peuvent être échangées si nécessaire, mais l’essentiel de l’ajustement se fait par le toucher, au fil du travail et en réponse directe aux réactions du corps.
Le massage est profond et mobilise différentes parties du corps (mains, avant-bras, épaules, parfois genoux) afin d’agir sur les tissus en profondeur. Il ne convient pas aux personnes recherchant un toucher léger ou standardisé.
Le massage se pratique toujours sur matelas. Je ne sais pas masser sur table (et je n’en possède pas).
Les séances durent deux ou trois heures, selon la formule choisie.
Une douche est possible en fin de séance (serviettes et gel douche fournis).
En comptant ce temps, prévoyez dix à quinze supplémentaires sur place. Il est recommandé de ne rien prévoir d’exigeant après la séance.
Pas de discernement sans discipline ; Sans discipline, pas de méditation ; Sans méditation, point de paix. Qui trouverait le bien-être sans la paix ? Car l’esprit, soumis au tumulte des sens, entraîne avec lui la clairvoyance du sage, tel le vent emportant le navire sur les flots.
Bhagavad-Gita, chant II

